Les rues du quartier, les N°,les batiments, les sociétes..

3/2/10
10 commentaires

En introduction, sur la page "les habitants...", je parle des rues du quartier et surtout des numéros.
Plusieurs d'entre vous sont déjà intervenus sur ce sujet, et ça mérite un petit débat..
J'ai pu remarquer, lors de la préparation du site, qu'il y avait pas mal d'incohérences, tant sur les noms de certaines rues, que sur les numéros des rues. La rue Jean-Batiste Dumas, souvent re baptisée Jean-Pierre Dumas, et les numéros dans un sens pour les uns et dans le sens inverse pour les autres...On peut même constater des numéros impairs et pairs, sur le même trottoir !! ou bien encore des sauts de numéros quand on passe du N° 70 à 80....
Je pense que certains d'entre vous on déjà des réponses...
Donnez votre avis sur la question. Peut être même avez vous des explications sur ces anomalies ??
Merci de votre participation!


 

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Commentaires :

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  • puig geneviève dit :
    02/10/2016 à 7h 01min

    je suis née à Meknes en 1947 et vivait rue jean baptiste dumas mon père était militaire à la base de meknes et ma mère professeur à l'école de musique dont le directeur était mr Néri. Je viens de voir une photo de l'école de bretagne en 1954. Je suis actuellement en Touraine près de la base 705 de Tours 37. Je recherche des photos de cette époque sur le marché devant le moulin du maghreb. Beaucoup de nostalgie et un souvenir du bon temps de ma jeunesse.

  • François FIRP dit :
    27/2/2012 à 12h 12min

    Bonjour Patrice, Effectivement nous habitions l'un en face de l'autre à la Patrouilleuse. Ton père comme le mien étaient instructeur auto à l'ESM. On a passé des heures et des heures à jouer ensemble dans notre ruelle, à faire voler les cerfs-volants, à pousser nos chariots de bric et de broc. Il y avait aussi nos escapades sur le terrain vague où nous pataugions à qui mieux mieux dans les mares aux têtards. Je t'ai envoyé un mail pour avoir tes coordonnées car nous avons conservé pas mal de films de l'époque. Ce site est super, je n'ai hélas retrouvé qu'Huguette Cerdan, nous sommes restés dans la même classe pendant 3 ans. Mais parfois il y a de bonnes surprises comme aujourd'hui. Au plaisir de te lire.

  • Patrice Dubois dit :
    13/6/2011 à 12h 12min

    Bonjour, Je viens de lire le commentaire de François Firpo. Mes parents ont bien connu tes parents, François, ils ont même des peintures de ton père. Moi aussi je suis né à la Patrouilleuse, en 1952 et nous sommes partis en 1958 il me semble. Mon père était militaire, j'ai deux frères Loic et Yvon (nous sommes tous nés là bas). Des connaissances militaires: Les Pavis, Guolter, Firpo, Commiti, Weiss, j'en oublie plein... C'était en effet une période merveilleuse, insouciante, ou tout le monde vivait en bon voisinage. Je me rappelle les champs de coquelicots, le bel abricotier, les papillons merveilleux, le charme de cette école, les pluies diluviennes parfois, en été, le beau ciel d'un bleu profond,... Quelle époque. Concernant la patrouilleuse, qulqu'un pourrait-il mettre un lien de coordonnées Google earth, cra je ne suis pas sçur de l'endroit sue les images. Merci d'avance. Patrice.

  • Francois Firpo dit :
    07/4/2010 à 12h 12min

    La Patrouilleuse. Afin d’apporter ma pierre à l’édifice à l’exemple d’André Langlois qui ravive avec beaucoup de talent les jours heureux de notre enfance ou d’adolescent pour certains, je viens vous parler de la Patrouilleuse. La Patrouilleuse avait une situation toute particulière au sein de ce quartier industriel. Ce lotissement était relativement excentré et de ce fait nous vivions un peu en vase clos, il accueillait vingt cinq foyers et était destiné à loger les familles de militaires et de personnels civils travaillant pour les armées. C’est là que je suis né en 1949 et où j’ai vécu jusqu’en 1958. Pour y accéder on était obligé de partir de la place d’armes et de prendre la route dite « militaire » ou route du « kilomètre dix », qui passait devant la chapelle jusqu’à un grand carrefour avec à l’époque un blockhaus en son milieu qui n’existe plus aujourd’hui. On passait ce carrefour puis on continuait tout droit entre les casernes et le terrain d’aviation, au bout de cette zone à gauche se trouvait la Patrouilleuse, dernière zone habitée avant le terrain de manœuvre et le champ de tir. La patrouilleuse avait la particularité de posséder un petit passage qui donnait au nord en direction de l’école et de ce fait la quasi-totalité des enfants de ce lotissement ont fréquenté la maternelle et l’école du quartier industriel. Matin midi et soir, quelque soit le temps, nous faisions le chemin tous ensemble à travers champs pour nous rendre en classe. Ces trajets étaient pour nous de bons moments de discussions animées ou de jeux, n’étant jamais pressés dans un sens comme de l’autre. Petit à petit les maisons de ce lotissement ont été attribuées à des militaires gradés d’origine marocaine qui intégraient les rangs des premiers éléments de l’armée royale. Les relations étaient vraiment bonnes, la majorité de ces militaires avaient fait les campagnes de France, d’Italie et d’Indochine avec l’armée française. J’ai ainsi découvert toutes les subtilités de la cuisine marocaine alors que le soir à la fraîche chacun racontait ses souvenirs. A notre départ, notre maison a elle aussi été attribuée à un militaire marocain. J’ai eu l’occasion de retourner à Meknes et de refaire le tour des lieux. Bien sûr les choses ont bien changé mais j’ai retrouvé sans grande difficulté notre école et mon quartier et aussi un peu de cette ambiance du passé. J’ai ainsi appris que la maison avait été achetée ou donnée à la personne qui nous avait succédé et qu’à sa mort elle a été partagée entre ses trois fils. Aujourd’hui trois familles y vivent tant bien que mal car la place manque. Je reste encore aujourd’hui très ému de l’accueil chaleureux qu’il m’a été fait lorsqu’elles ont su que j’étais né dans cette maison et que j’y avais passé un peu plus de 8 ans. Aujourd’hui la Patrouilleuse est toujours là, sans grand changement et c’est assez remarquable. Les maisons sont entretenues, beaucoup de toitures ont été refaites. La seule évolution est du à la culture musulmane qui a fait que toutes les petites clôtures, jadis recouvertes de plantes et de fleurs, ont été remplacée par des murs blancs de deux mètres cinquante de haut. Comme beaucoup d’entre nous, je suis resté très attaché aux souvenirs de notre quartier, de notre école et de Meknès.

  • Riquet dit :
    12/2/2010 à 12h 12min

    Merci Jack de m'avoir alerté sur l'erreur de la chapelle militaire...Effectivement, à tort, je la nommais "notre dame des oliviers" (église qui se trouvait près de Poeymirau à Meknés). En fait, grâce à Jimmy et Nini j'ai pu corriger voire nommer la chapelle militaire "Sainte Jeanne d'arc" qui comme tu dis Jack, a été construite selon le modèle du père Foucaut à Tamanrasset..(c'est corrigé sur le plan) Merci à vous!

  • Riquet dit :
    11/2/2010 à 12h 12min

    Adrien, Selon Nini (Yvette) le nom de la rue est effectivement "Jean-Batiste Dumas" et non Jean-Pierre Dumas...Et sa théorie tient debout, puisqu'elle nous dit que tous les noms de rue de notre quartier étaient des noms de scientifiques...Et "Jean-Batiste Dumas était chimiste!

  • Riquet dit :
    11/2/2010 à 12h 12min

    Moi dans le coin, il y avait un coin qui me faisait flipper quand j'allais chercher les blocs de glace à la Cigogne...C'était rue Denis Papin, un endroit immaculée, éblouissant de blancheur avec des grands bassins à chaux vives qu'on nous disait dangereux..Et les marocains venaient chercher la chaux à dos d'âne pour peindre leurs maisons...

  • Jacky dit :
    11/2/2010 à 12h 12min

    Ami de la rue Gay Lussac. Lequel ou laquerlle d' entre vous, n' a pas été de corvée les matins d' été, pour courir jusqu' a la " Brasserie la Cigogne " pour récupérer un bloc de glace pour sa glacière. Les commissions chez l' épicier Hamou ? Où bien aller chercher la boisson à la cave "El Moghrabi " des etablissements Cerdan ?Juste après le café de France au début de le rue Mermoz, le coiffeur, puis la papeterie Lubin , attenant la droguerie Ibanez,ensuite le photographe Sadoun au coin de la rue Pierre Curie et le restaurant, boulangerie patisserie, Rovery.Plus bas sur la gauche, il y avait je crois une bijouterie, à côté la librairie-journeaux tenue par 2 femmes , dont une était une ancienne ambulancière pendant la guerre 39-45, Les bains-douches de madame Blazy étaient à côté. Rappelons nous aussi le " Clavecin " face à l' ABC où nous nous précipitions,pour acheter la partition, dès qu'une chansonnette nouvelle apparaissait. Que de bons souvenirs je crois partagés par beaucoup d' entre-vous. Amitiés à tous Jacky

  • Riquet dit :
    10/2/2010 à 12h 12min

    Salut Jimmy, tu as vu, avec l'aide de Marcel De Florés, j'ai pu rajouter, en descendant la rue Cuvier, vers chez toi, l'"Ecole du tanger/Fés" (formation des cheminots).....Tu connaissais ?? Amitiés.

  • Adrien dit :
    08/2/2010 à 12h 12min

    je confirme les dires de Riquet c'est bien rue Jean-Pierre Dumas dont on ne connait pas grand chose sur sa vie (Jean-Batiste lui était un grand chimiste et homme politique 1800-1884)pour la voie se chemin de fer elle prenait fin à la hauteur des usines Aîcha début du petit marché un "bock" ou arrêtoir stopait les wagons

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