la chapelle militaire

21/5/10
24 commentaires

Racontez ici vos souvenirs de la chapelle militaire, du patronage, du catechisme...

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Commentaires :

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  • lussac dit :
    05/1/2021 à 17h 56min

    Francine Poupeney ,quel plaisir ,un message d'une fille de militaire ,quand vos parents étaient mutés ,c'était un déchirement de voir partir nos petits copains et copines . Ah ces séances de cinéma dans un chahut monstre ,tous les films de Charlot et Laurel et Hardy ,quand un film se coupait ,toute la salle criait ..." lumière " , l'entrée était une petite piécette qui permettait d'amortir les frais . Bien amicalement

  • Francine Poupeney dit :
    03/1/2021 à 12h 52min

    Je suis née à Meknès en 1948. Mon père était dans l'armée et ma mère institutrice à l'école LALAOUDA. Nous avions un logement de fonction dans la vieille ville à l'école. J'ai bien connu le père AGOSTINI et j'en garde un excellent souvenir. J'aimais beaucoup toutes ces séances de cinéma et je me demande si ce n'est pas lui entre autres qui m'a donné le goût du cinéma et de certaines activités collectives. Après le évènements nous avons changé d'habitation et vécu rue de Bretagne. La dernière fois où je vis le père : Toulon il baptisait mon jeune frère

  • lussac dit :
    20/11/2018 à 18h 36min

    Le Père Agostini Jade Duport ,certaines choses de notre enfance reviennent sans cesse ,c'est indélébile . Que dire sur le Père ,personnage discret avec une force de caractère hors du commun ,a part ses fonctions religieuses que tout le monde connaît il était un organisateur sachant se faire aider par des jeunes femmes et jeunes filles du quartier pour le catéchisme ,baptême , communions etc . Il a créer la chapelle militaire ,les adolescents ont construit une annexe toujours en bois a coté qu'ils ont nommé « Cité St Louis « ,elle faisait fonction de maison des jeunes ( moderne pour l'époque ) ,le père faisait cinéma dans cette salle ,l'entrée payante était une petite piécette ,je me souvient de toute la série des films de Charlie Chaplin ainsi que des Laurel et Hardy . Que dire de plus ,une main de fer dans un gant de velours ,il visitait les familles du quartier en souffrance ,amenant la bonne parole ,le réconfort ,une aide. Avec ses conseils les jeunes qui travaillaient ont créés la J.O.C ( jeunesse ouvrière chrétienne ),je ne me souvient plus ou était leur local . Bien sûr tout cela n'était possible que grâce a l'aide permanente de l'armée ,parfois un refus mais le père fin diplomate revenait sans cesse a la charge . Petite anecdote d'un séjour en colonie a Ifrane , le père a demandé a mon frère aîné,prends la camionnette avec deux petits et va chercher du pain a la boulangerie et nous voilà roulant vers la petite suisse ( c'est ainsi que l'on nommait Ifrane ) ,arrivé sur place le boulanger n'as pas voulu nous servir car il n'avait pas été payé de la dernière livraison et mon frère de lui dire que ce n'était qu'un petit retard et que le père respectait toujours ses engagements et puis deux cent enfants attendaient ce pain pour le repas ,apitoyé le boulanger a fini par nous servir ,au retour au camp le père nous attendait et eu un sourire complice avec mon frère . Souvenirs de plus de soixante ans bien agréables . Mon Père ,on ne vous a pas oubliés .

  • Jade Duport dit :
    15/11/2018 à 17h 45min

    Erratum : pardonnez-moi, Mamie Lili s'appelait Marie, Lucie étant mon autre arrière-grand mère, je confondais leur prénom étant enfant et je vois que je n'ai pas changé...

  • Jade Duport dit :
    14/11/2018 à 13h 23min

    Bonjour à vous tous, je ne sais pas si je serai lue mais je me présente, je m'appelle Jade Duport et je suis l'arrière petite nièce de Père Agostini. J'ai connu sa soeur, donc mon arrière grand-mère, Lucie, que j'appelais Mamie Lili, mais je ne connais pas grand chose sur mon arrière grand oncle. Pourriez-vous m'en parler, vous qui connaissez tout de lui ? :). Ma maman a travaillé au Cénacle à Saint-Barthélémy d'Anjou avec lui mais elle ne sait pas tout de sa vie à Meknès. Merci beaucoup pour votre aide et votre gentillesse :)

  • MARY dit :
    23/9/2018 à 15h 40min

    Bonjour, Je suis née en 1949 a Meknés. Mon Pére a l'époque Chef de Bataillon au 8 éme RTM et mon frére , plus agé était durant un certain temps le chauffeur du Pére Agostini. Je suis née a la Cliniquedes Oliviers à Meknés et été baptisée par ce Pére.....

  • Langlois André dit :
    11/7/2018 à 10h 26min

    Je fait des recherches en ce moment sur le sujet : "chapelles et églises de Meknès" et j'ai abouti à ce blog... Quelle surprise et quel plaisir...!!! Né en 39 et j'ai habité presque 19 ans à Meknès, rue Branly, quartier industriel. Je vous connais pour la plupart..., Lussac, Jackie, Riquet, Nocole.... et pour cause. La chapelle militaire et la nouvelle église Ste Jeanne d'Arc, rue de "l'aviation... le R.P. Agostini l'abbé Garcia Gérard (et son frère...), Mr et Mme Le Boucher (Les bedeaux assidus et exemplaires de notre chapelle, les 2 chiens, le patronage, sans oublier les gifles du Révérend... Comme l'on dit de nos jours... : "que du bonheur"....!!! mais c'est loin.. J'ai des photos du R.P. , sa tombe à Angers, des frères Garcia que j'ai retrouvé en France... S'il y a quelqu'un d'intéressé ...??? Merci pour vos messages.

  • Eric D dit :
    05/3/2018 à 14h 45min

    Bonjour à toutes et tous. Un petit serrement de coeur en tombant par hasard sur ce blog. Je tape "Père Agostini Meknès" et hop, la magie du net. Comme Laurent je suis né à la clinique Cornet de St Cyr en 1954. Je suis allé à l'école jusqu'en CM1 à l'école . Mon père avait avec ses frères un cabinet d'assurance, rue Zenkat Atlas. et nous habitions en face du cinéma désormais disparu Le Régent. Le père maria mes parents dans les années 50 (52 je crois) et eut la gentillesse de me marier en 1975 à Angers malgré son âge déjà avancé. Voilà, Pleins de souvenirs et quelques noms dont une certaine Laurence qui trotte dans mon esprit, les 2 frères Martinez et un super pote portugais dont je n'arrive pas à retrouver le nom ! Bises .

  • Laurent Gandrille dit :
    02/11/2017 à 18h 17min

    Claude, le père Agostini est enterré au cimetière de Saint Barthélemy d'Anjou, à côté d'Angers. Mes parents étaient à son enterrement. Excusez les fautes d'orthographe du précédent message

  • Laurent dit :
    02/11/2017 à 15h 13min

    Je suis né à Meknes en 1954. Les plan de la chapelle militaire ont été fait par mon père, le Père Agostini était le parrain d'un des mes frères et Monsieur Le Boucher mon parrain.

  • claude dit :
    04/7/2017 à 19h 28min

    Bonjour à toutes et tous, quel bonheur de vous lire malgré les commentaires déjà anciens ! j'ai bien connu le père AGOSTINI, que de souvenirs, je tenais parfois le panier des confiseries lors des séances de ciné, et je faisais partie du patronage. j'habitais rue de bretagne, j'étais en pension.J'ai cherché ces dernières années le père Agostini , Malgré différentes lettres vers les Archives militaires!....Nicolle Thierry Jariod, peut elle me dire où ll est enterré?

  • demarrer dit :
    22/3/2014 à 13h 41min

    J'ai bien connu le pere Agostihn_En 1949 je suis invité a meknes ou je suis reste octibre et novembre .J'y serais resté helas pas de visa les etranger (italien)ne deveient depasser le sejour autorisé.J'ai quitté le Maroc le coeur brisé.Et une amitiée +qu'affectueuse..Je suis toujours sensible a ce souvenir de jeunesse inoubliable Jai connu Fernandel et mr et mme Le boucher

  • Alixandra dit :
    20/4/2012 à 12h 12min

    Bonjour, je vous felicite pour cet excellent article. Bonne continuation. Cordialement

  • jackie dit :
    22/2/2011 à 12h 12min

    Lussac, tu dis me connaître de vue, ainsi que ma soeur, Geneviève, et oui nous empruntions chaque jour la rue Gay Lussac pour aller à l'école, à pied ou à vélo, et avions beaucoup de copains et copines de cette rue ... et du patronage. Nous avons revu l'Abbé Gérard tant à Nimes enjuin dernier qu'à Perpignan le 12 février lors de nos retrouvailles, c'était super, bien amicalement, Jackie Clavel.

  • Jean Gabel dit :
    19/11/2010 à 12h 12min

    je me souviens bien de la chapèle militaire, j'ai une photo du baptême des cloches si cela vous dit je peux vous la faire parvenir pour enrichire le site, j'ai fait parti aussi de la JOC à une époque, je ne sais plus qu'elle était l'emblème mais le drapeau était noir sur blanc, nous y avons fait une escurtion à Azrou si quelqu'un se souvient de cela qu'il me contacte par mail

  • lussac dit :
    01/10/2010 à 12h 12min

    Jackie je te connais de vue ainsi que ta soeur ,j'habitais 7 rue Gay Lussac ,l'avant dernier dans la colonne de gauche . C'est au moins trois citernes par semaine qu'il fallait ,parfois on la cachait sous une tente et on profitait de l'absence des enfants en ballade pour faire le plein car avec leur jeux d'eau c'était pas gagné . Dans l'aprés midi on faisait le plein de bois mort et le soir aprés le diner grand feu de camp ,une guitare ou un accordéon accompagnait nos chansons ,des fois des contes ou des histoires imaginaires enchantaient nos nuits . Puis les plus grands sautaient au dessus des flammes ,parfois on sentait le roussi ...... Une ballade en foret a la lueur de torche terminais nos soirées ,dans l'obscurité on apercevait des yeux ,certainement des chacals qui attendaient que l'on s'éloigne pour se jeter sur les restes que l'on mettait hors du camp . Retour sous les tentes ,chaque chef de tente faisait l'appel et extinction des feux ,bonne nuit les petits . On entendait le père Agostini faire sa ronde avec son fusil et ses deux chiens " sloughi et fernandel " . Amicalement

  • Jackie dit :
    30/9/2010 à 12h 12min

    Lussac, Je me souviens qu'une citerne venait chaque semaine livrer l'eau tant pour boire que pour les douches, et nous nous mettions tous autour, c'était un évènement. Lussac, je supoose que tu habitais la rue Gay Lussac, j'y passais tous les jours pour aller à l'école, j'habitais 6, rue Pierre Semard, et en dernier 7, rue Pierre Curie, que de bons souvenirs, notre tendre enfance ... on n'était pas riches, mais qu'est-ce qu'on était heureux. Amitiés, Jackie.

  • lussac dit :
    22/9/2010 à 12h 12min

    Merci Riquet et Jackie ,la moitié des enfants de notre quartier ont connus ces camps ,courage ,racontons nos souvenirs. Douches et Sanitaires. Trois ou quatre cabines de douches étaient a notre disposition ,deux futs de 200 litres d'eau fixés sur une plate forme ,un tuyau raccordé aux futs alimentait les cabines avec des boites de conserves percées de trous ,une grande bache cachait la vue . Filles et garçons allaient a tour de role et le Père ou des jeunes viellaient a la bonne marche ,les petits curieux perchés dans les arbres étaient vite repérés et punis . Quant aux sanitaires ,un carré de toile cachait un trou entouré de deux planches avec deux piquets de part et d'autre pour se tenir ,beaucoup d'enfants et et meme des grands étaient traumatisés ,mais au bout de trois ou quatre jours tout rentré dans l'ordre . C'était la session " commodités dans ces camps "ou " la cabane au fond du jardin avec les Moches ,fourrmmies , et scorpions en prime ,inutile de dire que personne n'y allait aprés le coucher du soleil . Bien amicalement

  • Jackie dit :
    20/9/2010 à 12h 12min

    Lussac, et les amis du quartier, Ah les camps du Père Agostini et Madame LEBOUCHER j'en ai fait plusieurs, j'avais entre 7 et 13 ans et tout ce que tu as décrit, je l'ai vécu ... les scorpions aussi, les garçons nous couraient après en nous faisant peur. Le soir, la musique, les chants autour du feu de camp, c'était vraiment de très bons souvenirs. Amitiés, Jackie.

  • lussac dit :
    13/9/2010 à 12h 12min

    Une fois nous étions réveillés au son de la trompette ,cela ressemblait plus a une corne de brume ou un troupeau de pintade mais le but était atteint ,nous sautions du lit.Toilettes aux robinets collectifs ou a la rivière selon l'endroit puis rassemblement au centre du camp pour le lever des couleurs ,le Père n'était pas un militaire pour rien . Petit déjeuner sous la tente réfectoire ,café , lait avec des tartines de pain beurrés ,parfois confiture ,le dimanche c'était du chocolat chaud (caobel ),ensuite chacun faisait son lit et au carré s'il vous plait ,rangement des tentes avant de partir en foret découvrir la faune et la flore ,les singes nous regardaient passer en poussant des petits cris d'alerte ,les deux chiens du Père Agostini " sloughi " et " fernandel " ouvraient la route en aboyant et s'arrétant tous les cent mètres en nous regardant " allez avancés " ,au sortir de la foret une grande plaine avec d'immense blocs de rochers et la on coupait des bottes de thym et des escargots que nous ramenions au camp . Pendant ce temps les plus grands préparés le diner a tour de role . Midi était bien avancé et une ribambelle d'enfants avait faim . Amitiés

  • Riquet dit :
    03/9/2010 à 12h 12min

    Merci Lussac pour ce commentaire sur les camps d\'Ifrane et Azrou...Je connaissais leur existance, mais je n\'y suis jamais allé! aussi je ressens avec ton recit, l\'ambiance et la convivialité qui devaient y régner... Merci encore, Amitiés, Riquet.

  • lussac dit :
    27/8/2010 à 12h 12min

    Comment parler du pere Agostini sans évoquer ses merveilleux camps de vacances a Ifrane ou Azrou . Longtemps a l'avance les parents inscrivaient leus enfants . La veille du départ ,sur place des militaires avec l'aide d'adolescents du quartier montaient les tentes ,dortoirs avec lits de camp ,draps et couvertures ,une tente pour la cantine avec tout le matériel nécéssaire et une pour le réfectoire . La plupart de la nourriture venait des surplus militaire ainsi que des dons de sociétés de notre ville dont Aicha pour les magnifiques oreillons de pèche et d'abricot en boite de 10 Kgs . Les plus jeunes enfants passaient les premières journées a délimiter les pistes de circulation avec de gros cailloux que d'autres peignaient en blanc a la chaux vive provenant de notre quartier ,souvenez vous du dépot . On en profitait pour capturer les scorpions et les mettre dans de grandes boites de conserve vide et a la veillée autour du feu de camp on vidait les boites dans les flammes ,c'était la seule façon pour les petits de dormir rassurés . Dans les tentes des grands ,chaque pied de lit trempait dans une boite de conserve contenant du pétrole ....... Amicalement et a plus tard peut etre pour d'autres anecdotes sur ces camps .

  • lussac dit :
    20/6/2010 à 12h 12min

    Hé oui Jacques Dupeux le père Agostini avait la gifle facile ,n'oublions pas que c'était un aumonier militaire et qu'as l'époque si on se plaignait aux parents on avait le meme tarif . Un hommage est rendu sur sa tombe en ce moment grace aux bons soins de Nicolle Thierry Jariod qui a retrouvé le père dans sa maison de retraite prés de chez elle . Amitiés

  • Jacques Dupeux dit :
    21/5/2010 à 12h 12min

    Chapelle Sainte Jeanne d'Arc prés de la place d'Armes Je me souviens du Père AGOSTINI, un corse qui nous enseignait le catéchisme. Quelques fois c'était un peu hard, il avait la main leste (mais toujours sur le coeur) et la gifle facile. Cela dit nous l'aimions tous. J'ai été louveteau pendant quelques années et trés assidu au cinéma de la paroisse du dimanche aprés-midi (films noir et blanc qui cassaient de temps en temps, banc en bois et brouaha).

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